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Le développement durable au cœur d’un projet mécanique entre le CEPI et l’ISUJ
Conjuguer apprentissage expérientiel, développement durable et recherche appliquée, c’est possible au Collège La Cité. L’Institut des services d’urgence et juridiques (ISUJ) s’est récemment tourné vers le Centre d’expertises en prototypage intelligent (CEPI) afin de développer une solution économique et durable pour remplacer les perceuses utilisées dans le programme Soins paramédicaux avancés

Conjuguer apprentissage expérientiel, développement durable et recherche appliquée, c’est possible au Collège La Cité. L’Institut des services d’urgence et juridiques (ISUJ) s’est récemment tourné vers le Centre d’expertises en prototypage intelligent (CEPI) afin de développer une solution économique et durable pour remplacer les perceuses utilisées dans le programme Soins paramédicaux avancés. Ces perceuses, qui servent à administrer des médicaments via l’os du patient, sont essentielles pour l’apprentissage des futur.e.s paramédics.
« Chaque perceuse coûte environ 1 000 $ et a une durée de vie de 1 à 2 ans. Quand la batterie est épuisée, il faut carrément jeter l’appareil, ce qui n’est vraiment pas écologique et qui coûte cher à la longue considérant qu’on a besoin d’au moins 6 appareils fonctionnels en tout temps pour la formation de nos futur.e.s paramédics » explique le technologue de l’ISUJ, Jonathan Desmarais. « L'idée de pouvoir réutiliser ces dispositifs me trotte dans la tête depuis un certain temps. Maintenant, grâce au CEPI, nous avons une très belle opportunité. »
De gauche à droite : Jonathan Desmarais, technologue – ISUJ, Maya Dauth, assistante de recherche – CEPI, Frédéric Bousquet, étudiant PEPA – Technologie du génie mécanique et Guy Martial Divakou, professeur – Technique du génie électrique (absent sur la photo)
Au centre de recherche, l’équipe a réfléchi à une solution durable et peu coûteuse. Elle a proposé la fabrication en 3D d’une nouvelle coquille de perceuse, identique à la précédente à l’extérieur pour préserver la sensation de tenir la perceuse originale, mais en modifiant la géométrie interne afin d’introduire des batteries rechargeables.
Une partie de ce projet a été confié à Frédéric Bousquet, un étudiant en Technologie du génie mécanique de La Cité, embauché cet été pour travailler sur des projets de recherche. Sous la supervision de Maya Dauth, assistante de recherche au CEPI, Frédéric a joué un rôle clé dans ce projet.
« Travailler sur ce projet a été une expérience incroyablement enrichissante. J’ai eu l’opportunité d’utiliser et d’approfondir mes compétences apprises lors de mes cours et de contribuer à une solution durable et innovante. »
Un merci particulier au Bureau de l'idéation et créativité (BIC) pour le prêt de leur numériseur et à Guy Martial Divakou, professeur en Technique du génie électrique, pour son travail sur l’interface électrique des batteries rechargeables.
Ce projet s’aligne parfaitement avec les orientations stratégiques de La Cité en matière de développement durable et d’apprentissage expérientiel. Il démontre l’expertise et l’efficacité de notre centre de recherche spécialisé en prototypage et en intelligence artificielle, grâce à une équipe d’expert.e.s chevronné.e.s et à des équipements à la fine pointe de la technologie.

null La Cité en soutien aux entreprises privées de l’Ontario
Le Bureau de la recherche et de l’innovation (BRI) et l’Unité entrepreneuriale du Collège La Cité ont travaillé de concert au cours des cinq dernières années afin de soutenir les entrepreneurs francophones de l’Ontario. En tout, ce sont 887 PME qui ont reçu notre aide. C’est un peu plus du double de la cible fixée au début du projet en 2018. Toutes ces réalisations ont été possibles grâce au financement de près de 1,8 million de dollars de l’Agence fédérale de développement économique pour le Sud de l’Ontario (FedDev Ontario) et de près de 2 millions de dollars en financement complémentaire.
Pour le volet entrepreneurial, les clients ont entre autres pu compter sur de la formation, des subventions pour des services spécialisés et du réseautage. Plusieurs activités et événements ont également été mis en place spécialement pour les femmes, les jeunes et les nouveaux arrivants.
Pour le volet de la recherche appliquée, 57 projets qui ont été réalisés avec des entreprises privées dans les domaines de la bio-innovation et du prototypage intelligent et qui visaient le développement ou l’amélioration de produits ou de services.
5 à 7 de La Cité des affaires – Charles Cuerrier, PDG de Spiderwort, Nathalie Méthot, directrice du BRI, et Julien Le Roy, gestionnaire du CAT-B
D’ailleurs, le Centre d’accès à la technologie en bio-innovation (CAT-B) et le Centre d’expertises en prototypage intelligent (CEPI) ont travaillé en synergie dans le cadre d’un même projet avec l’entreprise Recherches Neuro Hippocampe, qui développe une méthode de détection précoce de la maladie d’Alzheimer. Le CEPI a conçu un prototype de centrifugeuse alors que la détection de marqueurs génétiques reliés à l’Alzheimer a été réalisée par le CAT-B.
La directrice du BRI, Nathalie Méthot, affirme que « ce financement a joué un rôle important dans notre capacité de répondre rapidement aux besoins des entreprises autant en formation, qu’en soutien à l’innovation et en services spécialisés tout en offrant la possibilité à nos étudiant.e.s l’occasion de contribuer directement aux projets. »
